With Lenka Vlasakova, Christian Redl, Hanna Schygulla, Miroslav Donutil and Udo Kier. Directed by Ivan Fila, Lea is sad little film about despair, hope and redemption. Subtlety isn’t the main virtue of this violent and bizarre German drama. The heroine is a mute Slovakian woman traumatized by an abusive childhood. One day, a mysterious German soldier shows up in her remote village and falls in love with her. He actually purchases her from her adoptive parents so that she can come with him and be his bride. But once he has her back in Germany, he abuses her in the same way that her father used to. It’s basically a G-rated S&M movie about domination and submission. Unpleasant, but very tame.
Léa (Lenka Vlasakova) est une jeune paysanne slovaque abusée par un père cruel. Temoin de la mort de sa mère (tuée sauvagement sous ses yeux), elle perd la parole. Peu à peu, elle retrouve la tranquilité et la paix, mais voilà qu’un jour un ex-militaire allemand arrive dans son village. Il tombe amoureux de Léa (qui ressemble étrangement à sa femme décédée) et.... l’achète afin de la traîner de force dans sa maison en Allemagne et de l’épouser. Poète, peintre et douée pour le violon, Léa vit misérablement auprès de son époux qui l’aime tout en l’abusant très cruellement. Jusqu’à ce qu’il lise un de ses poèmes.