June 6, 2000
Billy Elliot (2000) **
Directed by Stephen Daldry. With Jamie Bell, Julie Walters and Gary Lewis. Excellent British comedy/drama in the best tradition of Brassed Off and The Full Monty. The film is set in a poor coal-mining town, where striking miners hurl insults at scabs and cops, and where a talented young boy dreams of becoming a great ballet dancer. It sounds corny, perhaps, but unless you’re completely heartless, you’ll love every minute of it.
Promise Her Anything (2000) *
A bizarre romantic comedy, set in a small village whose inhabitants steadfastly refuse to pay their taxes. The plot revolves around a greedy entrepreneur who wants to build a Wal-Mart store and a taxwoman who finds herself being seduced by the town’s hunk (Zane) in a brave attempt to maintain the tax-free regime. The film is weird enough to be quite interesting, but lame dialogue and weak acting all but sink this seriously misguided effort.
Les habitants d’une petite ville refusent de payer leurs impôts. Il n’est donc pas surprenant qu’un riche entrepreneur veut y construire un gros supermarché. Superficiellement, on pourrait rapprocher ce film de “It’s A Wonderful Life” de Frank Capra, mais c’est d’avantages (le charme en moins) au “Waking Ned Devine” qu’il faut songer. Il s’agit, en effet, d’un petit film extrêmement bizarre, plein des personnages toqués, qui conspirent tous enfin d’empêcher les étrangers de découvrir leurs secret gênant. C’est une fable presque surréaliste, avec un scénario qui oscille entre la linéarité et l’imprévu des situations. Malheureusement, la mise en scène est plutôt sans surprises, et les dialogues sont souvent très déconcertants. Comédie d’Alain Zaloum. Avec Billy Zane, Valérie Valois, Patrick Bergin, Serge Houde et Barry Morse.
Les habitants d’une petite ville refusent de payer leurs impôts. Il n’est donc pas surprenant qu’un riche entrepreneur veut y construire un gros supermarché. Superficiellement, on pourrait rapprocher ce film de “It’s A Wonderful Life” de Frank Capra, mais c’est d’avantages (le charme en moins) au “Waking Ned Devine” qu’il faut songer. Il s’agit, en effet, d’un petit film extrêmement bizarre, plein des personnages toqués, qui conspirent tous enfin d’empêcher les étrangers de découvrir leurs secret gênant. C’est une fable presque surréaliste, avec un scénario qui oscille entre la linéarité et l’imprévu des situations. Malheureusement, la mise en scène est plutôt sans surprises, et les dialogues sont souvent très déconcertants. Comédie d’Alain Zaloum. Avec Billy Zane, Valérie Valois, Patrick Bergin, Serge Houde et Barry Morse.
The Closer You Get (2000) **
With Niamh Cusack, Sean McGinley, Ian Hart. A delightful piece of Irish blarney, set in a small Celtic village full of horny lads and lasses. The battle of the sexes takes a few unexpected turns as the boys place an ad in a newspaper looking for American women, while the gals retaliate by inviting some hot Spanish sailors. Fine entertainement in the tradition of Local Hero and Waking Ned Devine.
42 Up (2000) **
Documentaire de Michael Apted. Voilà une expérience tout à fait unique et fascinante - un documentaire réalisé par Michael Apted (le metteur en scène du dernier James Bond, “The World Is Not Enough”) qui, depuis 1964, trace les vies de 14 citoyens britanniques de même age, mais issus de différentes groupes sociales. Le film consiste de six séries d’interviews, organisés tous les sept ans, à l’age de 7, 14, 21, 28, 35 et maintenant 42 ans. Il n’est pas du tout necessaire d’avoir vu les volets précedants de la série (comme “28 Up” de 1985 ou “35 Up” de 1992), car les anciens interviews (les tout premiers en noir et blanc) se retrouvent également dans “42 Up”. Alors, il s’agit d’un film quasi-vivant, qui “pousse” littéralement devant nos yeux tous les sept ans (“28 Up” dure 120 minutes, “35 Up” - 129 minutes, et “42 Up” - 139 minutes), et continuera sans doute ainsi jusqu’à “77 Up” (en 2034) ou “84 Up” (en 2041). **
Wonderland (2000) **
Directed by Michael Winterbottom. With Molly Parker, Shirley Henderson, and Gina McKee. A British family drama about three sisters dealing with life’s many problems (such as unreliable boyfriends, difficult pregnancy and a barking dog). At its best, it’s a charming “working-class-Brits” drama with interesting characters and mature dialogue. But at its worst, it’s something of a proletarian soap opera, full of melodramatic hysterics, verbal battles, and bitter recriminations.
The Highwayman (2000) *
A tough road movie about a gang of thieves and murderers which suddenly morphes into a soapy melodrama about a young girl looking for her daddy. This Canadian film has to be seen to be believed. It defies description. It’s so monstruously bad, it might be a case of deliberate sabotage. "Hey, guys, let’s make the worst movie of all time!".
Comédie de Keoni Waxman. Avec Jason Priestly, Bernie Coulson, et Louis Gossett Jr.
“The Highwayman” est une oeuvre très bizarre, tantôt loufoque, tantôt amère, mais toujours extrêmement violente. Bien que produit et interpreté par Jason Priestly, cette production canadienne n’est ressemble pas du tout à sa fameuse série télé “Beverly Hills 90201”. Très confus, et presque impossible à suivre, le récit est très fragmenté - en effet, sa progression narrative semble proche d’un film experimental. Tantôt, on suit une bande de malfrats qui volent des bijouteries et tuent des policiers. Et puis soudainement, on se retrouve devant une histoire d’un père prodigue pursuivi par sa fille. S’agit-il d’une parodie des films d’action de Quentin Tarantino? Ou plutôt d’une tentative échoué d’imiter ce cinéaste culte?
Comédie de Keoni Waxman. Avec Jason Priestly, Bernie Coulson, et Louis Gossett Jr.
“The Highwayman” est une oeuvre très bizarre, tantôt loufoque, tantôt amère, mais toujours extrêmement violente. Bien que produit et interpreté par Jason Priestly, cette production canadienne n’est ressemble pas du tout à sa fameuse série télé “Beverly Hills 90201”. Très confus, et presque impossible à suivre, le récit est très fragmenté - en effet, sa progression narrative semble proche d’un film experimental. Tantôt, on suit une bande de malfrats qui volent des bijouteries et tuent des policiers. Et puis soudainement, on se retrouve devant une histoire d’un père prodigue pursuivi par sa fille. S’agit-il d’une parodie des films d’action de Quentin Tarantino? Ou plutôt d’une tentative échoué d’imiter ce cinéaste culte?
Me Myself I (2000) **
Directed by Pip Karmel. With Rachel Griffith, David Roberts, and Sandy Winton. This excellent Australian comedy/drama offers a neat variation on “Sliding Doors”: a “what if” scenario, where a professionally successful single woman discovers how her life would have turned out had she married the man of her dreams and gave birth to three bratty kids. Griffith (Toni Collette’s wheelchair-bound friend in "Muriel’s Wedding") gives an absolutely terrific performance as a brilliant writer suddenly coping with cooking, laundry, and other unpleasant household chores.
Subscribe to:
Posts (Atom)