Lame and unpleasant comedy/romance/courtroom drama about an ugly custody battle between a gay gardner (Everett) and a mother of his child (Madonna). This movie is like an evil twin of The Object Of My Affection; instead of celebrating the new concept of non-traditional extended family where gays and straights can co-exist in harmony and where sexual attraction is only one of many bonds that unite people, The Next Best Thing offers a cautionary tale of what can happen when a gay man gets too close to his fag hag.
Une jeune femme (Madonna) a un enfant avec son meilleur ami (Rupert Everett), qui est gai. Ils vivent très heureux, élévant leur fils ensemble, jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’un autre homme (Benjamin Bratt). Le scénario mêle, non sans audace, le drame et la comédie. Au point qu’on est souvent surpris de brusques changements de ton. Certains spectateurs seront peut-être captivés par ce tableau de moeurs modernes et ils vont même s’émouvoir de cette histoire d’amour inhabituelle. Mais d’autres n’y verront qu’une copie pâle de “Object Of My Affection” avec Jennifer Aniston. Mélodrame de John Schlesinger. Avec Madonna, Rupert Everett, Benjamin Bratt, Michael Vartan et Malcolm Stumpf.
